LA DANGEREUSE MAUVAISE FILLE 4 : VIERGE SUR LE DOS D'UN OURS

Céline saisit fermement la poignée qui se trouvait au-dessus de la porte ouverte de l’hélicoptère. Elle n’était jamais montée dans un hélico avant et les vibrations énergiques des pales tournoyantes l’excitaient et son clito était congestionné comme jamais auparavant. Saisir le harnais de sécurité qui la maintenait était la seule chose qu’elle pouvait faire pour se retenir d’arracher ses vêtements et de laisser les mouvements émoustillants amener son corps de 18 ans jusqu’à l’orgasme.

Alors que son esprit se noyait dans l’extase, Céline observa Christian à travers la porte ouverte. Christian, son nouveau beau-père, était grand et musclé avec un teint crémeux, une mâchoire proéminente et des yeux verts brillants. Lorsqu’il s’assit à côté de Céline, il repositionna ses larges épaules en visant le sol avec son fusil chargé de tranquillisants.

« C’est lui », annonça Christian en levant les yeux. « Stabilise l’hélico ! », cria-t-il au pilote.

Céline tourna son attention vers la prairie. Il s’agissait de la plus grande réserve d’ours du monde et, habitués à l’hélico, tous les ours s’enfuirent sauf un.

« C’est ça Papa, ne bouge pas », dit Christian pour lui-même.

Céline examina le grand ours brun qui s’était redressé et qui rugissait face à l’hélicoptère qui faisait du surplace. Ils étaient encore à environ 3 mètres, mais même à cette distance Céline savait que c’était le plus gros ours qu’elle n’avait jamais vu. De là où ils étaient, Céline pouvait dire que les pattes de l’ours étaient plus grosses que sa propre tête. Et au vu de l’épaisseur de son cou et de son poitrail, son expertise lui dit qu’il ne s’agissait pas d’un ours qu’il fallait chercher.

Alors que Céline regardait l’animal, Christian tira avec son fusil. En éloignant la lunette de ses yeux, il regarda en bas pour observer la réaction de l’ours. Il ne se passa rien.

« Je pense que je l’ai raté. Amène-nous un peu plus près. Papa nous défie, le bruit ne va pas lui faire peur », cria-t-il au pilote.

Céline s’agrippa plus fort au moment où l’hélicoptère se déplaça, stimulant cette fois les lèvres gonflées de sa chatte.

« Mmmm », gémit-elle entre ses dents.

En laissant son esprit vagabonder, elle retourna son attention vers l’ours qui se trouvait maintenant à environ 1,5 mètre. Il était magnifique. Sa fourrure épaisse aux tons bruns et or brillait et la force qu’il montrait avec sa gueule grande ouverte et avec sa tête s’agitant d’avant en arrière l’excitaient encore plus.

Alors que Céline regardait la magnifique créature, cette dernière fut prise de soubresauts. Son rugissement puissant fut réduit au silence pendant une seconde avant qu’il ne rugisse une dernière fois pour protester. Puis, se remettant sur ses quatre pattes, il se retourna et il commença à courir.

« Oh non, ça ne va pas se passer comme ça Papa », dit Christian en visant de nouveau l’animal.

Au moment où le fusil émit un craquement, l’ours vacilla. La créature majestueuse laissa échapper un rugissement moins féroce que les autres, elle ralentit puis elle s’arrêta, elle chancela et elle finit par tomber.

« Ok, pose-nous au sol », ordonna Christian en montrant un espace situé à 1,5 mètre de là.

Au moment où le train d’atterrissage de l’hélico toucha le sol, Célina fit de son mieux pour reprendre ses esprits. Elle savait qu’elle était là pour accomplir une mission, et si elle était incapable de se reconcentrer totalement, son père et elle pourraient être tués.

Céline lâcha la poignée de la porte quand l’hélico toucha le sol en faisant un bruit sourd. En faisant aussi vite qu’elle le put, elle détacha le harnais de sa poitrine et elle prit la sacoche glissée à côté d’elle. Elle attendit que Christian sorte en premier, puis elle se glissa vers l’avant et elle posa les pieds sur la terre ferme.

Ses jambes se mirent à flageoler au moment où elle reposa tout son poids sur elles. Elle ressentait la même chose que celle qu’elle ressentait après un orgasme explosif. Ne sachant pas si elle avait laissé s’échapper quelque chose à cause des mouvements rapides, elle frotta subitement ses jambes l’une contre l’autre pour rechercher toute trace d’humidité.

Christian sortit la radio fixée à sa ceinture. « OK, tu me reçois ? »

« Affirmatif », répondit le pilote.

« Je passe en silence radio. »

« Reçu 5 sur 5 », conclut le pilote.

Christian se tourna vers Céline qui affichait un air gêné.

 « Ça va ? », cria-t-il à l’attention de sa fille tout en saisissant fermement son fusil.

Céline regarda son père avec un air absent.

« Ouais. C’est juste que je n’étais jamais montée dans un hélico avant. »

Un sourire se dessina lentement sur le visage de Christian. Quelque chose dans ce grand sourire disait à Céline qu’il savait ce qu’elle ressentait. La réponse qu’il lui donna le confirma.

« C’est sympa, pas vrai ? », dit-il avec un sourire ingénieux.

Céline rougit, il l’excitait encore plus. « Oui », admit-elle alors qu’elle reprenait ses esprits.

 « Bien, Concentre-toi. Je ne voudrais pas qu’un ours te mange avant que je ne le fasse », dit Christian en faisant le même sourire enjôleur que celui qu’elle avait observé maintes et maintes fois depuis qu’elle était devenue bénévole à la réserve deux ans plus tôt.

« Peut-être que tu devrais saisir ta chance pendant que tu l’as encore », dit-elle avec un sourire pour lequel elle s’était entraîné dans l’espoir de l’utiliser un jour.